• Informations sur l'album
  • Café Panique
  • Café Panique
  • 03/2004 -- Éditions Charrette
  • 3.88/5 (8 votes)
  • Europe
  • Adaptation d'œuvre littéraire
  • 35833
  • Alfred
  • Alfred
  • Myriam
  • Alfred
  • Topor, Roland
  • 03/2004
  • non coté
  • Éditions Charrette
  • Autre format
  • 2-915478-00-7
  • 44
  • 17/05/2004 22:23:41 (maj 28/03/2020 10:37:39)
  • Info édition : Noté "Première édition". Format 16.5 X 24 cm.
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  • Les avis
  • DamBDfan

    Le 29/10/2013 à 19:22:17

    Bof, cet album ne m’a pas convaincu des masses, je suis rester de marbre toute ma lecture. Ca ne veut pas dire que c’est mauvais mais ça ne m’a pas interpellé plus que ça. J’ai trouvé les anecdotes de comptoir mièvres, pas très marrantes et limite sans intérêt. Je n’ai pas bien saisi la fin (le théâtre)… Le point positif est l’ambiance des cafés assez bien représentée, immersive et on pourra se reconnaître à travers certaines situations. C’est en quelque sorte un hommage à la vie de café avec ses odeurs, ses habitués et l’ambiance chahutée qui y règnent mais ça s’arrête là pour ma part. Les dessins d’Alfred ne me dérangent pas, ils sont originaux et personnels mais par contre c’est quoi ces petits montages photos tout pourris ? Il aurait pu s’abstenir sur ce coup-là… Bref, il y a vraiment un goût de trop peu et ça se lit trop vite.
  • nexus4

    Le 05/12/2004 à 19:21:52

    Le Café Panique, c'est entre les "Brèves de comptoirs" et "Un singe en hiver". Mais la où Blondin exaltait l'ivresse, Alfred (et a travers lui Topor) décrit l'univers du comptoir. Alors que Gabin "Tutoie les anges", il y a les autres, ceux qui ne décollent pas vraiment, ceux dont l'ambition est de changer le papier peint du séjour. Le comptoir rythme leur vie et chaque forte gueule y va de son aventure ordinaire, de son rêve sans envergure… Et chacun s'évade, le lecteur aussi. Car c'est cela Café Panique, Topor et son art de la poésie du quotidien. Alfred traduit a merveille cette ambiance. Les couleurs sont chaudes et on entend le brouhaha du soir, on devine les tables mal rincées, d'un revers de torchon humide. Et il y a les odeurs, celle de la Renault 16 en panne en bas de la rue, les pavés humides, les vêtement mouillés qui peinent a sécher, les vapeur d'alcool qui s'entremêlent. Et la sueur, la sueur sèche, celle du sur place. Tout cela transparait dans le trait d'Alfred et chaque intervenant, dans son demi mensonge, a droit à traitement graphique particulier, qui forge son caractère…

    Le seul reproche que je ferais a Café Panique, c'est d'être trop court. On en redemande

    Alfred, tu nous remets la même chose !