• Informations sur l'album
  • Comme les traits que laissent les avions
  • Comme les traits que laissent les avions
  • 5.00/5 (1 votes)
  • Autre
  • Chronique sociale
  • 194230
  • Brondi, Vasco
  • Bruno, Andrea
  • Bruno, Andrea
  • Zas, Sylvestre
  • 07/2013 (Parution le 23/08/2013)
  • 07/2013
  • non coté
  • Rackham
  • Le Signe noir
  • Format normal
  • 978-2-87827-164-5
  • 69
  • 26/07/2013 15:44:27 (maj 23/08/2013 18:06:56)
  • Info édition : Noté "Dépôt légal : troisième trimestre 2013". Couverture souple avec rabats. Format : cm. 20 x 28.
  • Résumé: Micol, la fille aux longs cheveux roux qui s’échappent de son casque intégral, et Rachid, l’immigré toujours habillé d’un maillot de foot, ont tous les deux vingt ans. Micol vit d’un boulot précaire et arrondit ses fins de mois en livrant des pizza ; Rachid travaille au noir dans le bâtiment et ne s’en sort qu’en dealant du shit. Micol pense sans cesse à Rico, son grand amour perdu quelque part entre l’héroïne et les rues de Berlin. Rachid rêve d’un travail normal et d’une maison. Micol perd son job et Rachid, accusé d’un vol qu’il n’a pas commis, est renvoyé du chantier. C’est le moment des grandes décisions, le moment de partir, peut-être. Leurs chemins se croisent dans le phone center d’une banlieue morne, sous un ciel sans cesse traversé par les sillages blancs des avions. Bien que tout les oppose, le paradoxe auquel ils sont confrontés, peur du départ et nécessité de chercher ailleurs un futur meilleur, les rapprochera fatalement. Quelque chose va naître entre le clandestin et la chômeuse. Une amitié, une histoire d’amour, qui sait…
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  • Les avis
  • Erik67

    Le 21/12/2020 à 13:48:05

    Le graphisme est tacheté pour produire un effet optique ou d'encrage un peu sali. C'est franchement horrible à la vue. On suit le portrait de deux égarés de la société italienne qui décrépit sous nos yeux. C'est un récit guère réjouissant sur l'avenir d'une jeunesse paumée. A vrai dire, on se perd très vite tant le scénario nous apparaît comme hermétique. Les silences lourds de sens auront fini par nous achever. Du même auteur, je n'avais pas apprécié Bouillon de néant qui était déjà un magma difforme d'images. Je constate avec regret qu'il n'y a pas eu d'amélioration 7 ans après. Désolé de le dire aussi abruptement: je ne fais pas dans la délicatesse et cette oeuvre non plus.