


- Informations sur l'album
- (DOC) Études et essais divers
- Nocturnes: le rêve dans la bande dessinée
- 4.00/5 (1 votes)
- Europe
- Documentaire
- 313907
- Groensteen, Thierry
- <Collectif>
- <Quadrichromie>
- Mathieu, Marc-Antoine
- 10/2013
- 10/2013
- non coté
- Citadelles et Mazenod
- Autre format
- 978-2-85088-560-0
- 224
- 25/10/2017 16:29:18 (maj 25/07/2024 00:30:54)
- Info édition : 150 ill. couleur format 25,5 x 29 cm Nocturnes : le rêve dans la bande dessinée a été présentée au musée de la bande dessinée de la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image (Angoulême) du 20 décembre 2013 au 30 mars 2014.
- Résumé: le sommaire Gilles Ciment Enfourchons nos rêves Danièle Alexandre-Bidon À l’origine de l’imagerie onirique, la peinture de rêve dans l’art médiéval Thierry Groensteen Rêves de papier Signalement du rêve Dès le dix-neuvième siècle… Le maître du Slumberland La puissance fabulatrice de l’imagination Cousins et descendants de Nemo Cauchemars Autopsie du rêve Rêve ou réalité ? Le rêve à l’envers Pédagogie du rêve À chacun son rêve Les scénarios fantastiques du rêve Journal de rêves Rêver en dessinant Entretien avec David B. Laurent Gerbier L’ordre des rêves, des images au récit Les images du rêve Les récits du rêve Le sujet des rêves Christian Rosset À la frontière (la bande dessinée et l’autre scène) Tout à la fois catalogue de l’exposition, essai détaillé et superbe ouvrage illustré, Nocturnes invite à emboîter le pas à tous les explorateurs intrépides du continent onirique, des artistes du Moyen Âge à David B. en passant par Winsor McCay, Mœbius, Julie Doucet ou Marc-Antoine Mathieu. Avec Little Nemo in Slumberland, le chef-d’œuvre de Winsor McCay, la bande dessinée a scellé dès 1905 un pacte avec l’onirisme. Toute son histoire est jalonnée d’images exploitant le privilège qu’a le dessin de donner une forme aux songes des hommes. Entre merveilleux et visions cauchemardesques, les plus grands dessinateurs ont donné libre cours à un imaginaire du rêve, dont cet ouvrage dresse le premier et fascinant inventaire. On y découvrira comment certains codes graphiques spécifiques à la représentation des scénarios oniriques se sont mis en place dès le Moyen Âge et comment, suite à l’essor de l’autobiographie dessinée, les dessinateurs (David B., Julie Doucet) ont commencé à traduire en images leurs propres rêves. Entre le Major Grubert, redoutant de ne plus pouvoir sortir du piège des « rêves emboîtés » (chez Mœbius) et Julius Corentin Acquefacques, le « prisonnier des rêves » (chez Marc-Antoine Mathieu), Nocturnes invite à emboîter le pas à tous les explorateurs intrépides du continent onirique.