• Informations sur l'album
  • Double masque
  • Les coqs
  • 5
  • 4.35/5 (23 votes)
  • Europe
  • Histoire
  • 122195
  • Dufaux, Jean
  • Jamar, Martin
  • Jamar, Martin
  • 03/2011 (Parution le 04/03/2011)
  • non coté
  • Dargaud
  • Format normal
  • 978-2-505-01119-4
  • 46
  • 04/02/2011 17:31:16 (maj 05/07/2019 09:06:26)
  • Info édition : Noté "Première édition". Pas de DL, celui noté ici correspond au mois de parution.
  • Résumé: Alors que l'ancien consul Bonaparte poursuit son inexorable ascension vers le trône d'empereur, les complots à son encontre se multiplient. Fouché, l'Écureuil et la Torpille veillent au grain, mais il est des affrontements que l'on doit mener seul, à l'instar de celui qui oppose l'Abeille à la Fourmi. Les tentatives d'assassinat de ce dernier ont échoué ; voici venu le temps des pourparlers. Car, après tout, aucun des deux ne connaît l'origine de ces masques qui les lient, comme l'ombre et la lumière.
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  • Les avis
  • Krompir

    Le 27/01/2012 à 03:09:20

    Ce tome 5 doit se lire de concert avec le Tome 5, Les deux sauterelles.

    Rencontre des deux masques - démasqués ! Le scénario s'accélère, les fils conducteurs qui louvoyaient dans les tomes précédents se rassemblent en faisceaux... Mais il reste le mystère de la Pourvoyeuse des Masques ! Ah, suspense, quand tu nous tiens...

    Le scénario est bien goupillé, bien que parsemé d'invraisemblances : trop de retournements de vestes, Napoléon qui accepte de rencontrer seul à seul son vis à vis des bas fonds, un masque que personne n'a vu mais qui suscite l'effroi chez la prêteuse sur gage...

    Un détail : les protagonistes dialoguent avec une correction toute académique. Et bien, de belles phrases dans la bouche de ruffians, cela rajoute à la véracité de l'ensemble, car les dessins sont tellement précis et piqués qu'un parlé plus « normal » (lire : populaire) déparerait l'ensemble.

    Les dessins sont lumineux, les couleurs superbes. Chaque scène possède sa propre palette, les plans larges se déclinent en camaïeux à l'infini. La scène à la dernière plance de la rencontre entre Bonaparte et Pie VII dans la forêt est un vrai chef d'oeuvre !

    Nous avons hâte à la suite.