Pour ce recueil ci, il y a vraiment à boire et à manger. C’est une petite déception, bien que tout ne soit pas à jeter. Les classiques fonctionnent toujours parfaitement (Robin Dubois, Clifton, Cubitus,…) avec des gags en 1 à 3-4 pages, c’est amplement suffisant. A contrario, l’histoire de Johnny Bizzard est interminable et lassante au possible (pour n’en citer qu’une).