

- Informations sur l'album
- Sixteen Kennedy Express
- Sixteen Kennedy Express
- 2.50/5 (2 votes)
- Europe
- Drame
- 207132
- Ducoudray, Aurélien
- Quignon, Bastien
- Quignon, Bastien
- 02/2014 (Parution le 05/02/2014)
- non coté
- Sarbacane
- Format normal
- 978-2-84865-671-7
- 96
- 23/01/2014 14:37:39 (maj 23/01/2014 14:37:50)
- Résumé: 1968, États Unis, une petite ville « in the middle of nowhere » bordée par les champs de blé à perte de vue et seulement animée par le chan- tier de son Mall en construction... Rob, 14 ans, a le bras dans le plâtre depuis un stupide accident, qui le prive du bénéfice des petits boulots d’été. Il s’ennuie ferme. Un évè- nement imprévu (le passage du train funéraire transportant la dépouille de Robert F. Kennedy – assassiné - à travers la moitié des États-Unis) va lui permettre de rencontrer une jeune fille nommée Sixteen qui aura16 ans à la fin de l’été, et qui : «j’te jure que dès que j’ai 16 ans je me casse de ce bled pourri... » Rob va partager cet été avec elle, et en tomber fou amoureux. Du haut de ses 14 ans, Il n’y connaît rien aux filles... Aussi handicapé par ses sentiments que par son bras dans le plâtre...
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Erik67
Le 02/09/2021 à 21:17:22
Sixteen Kennedy Express est une chronique de l’Amérique des années 60 au travers un adolescent qui découvre son premier amour. Le sénateur Robert Kennedy vient d’être lâchement assassiné comme son illustre frère. Le train transportant son cercueil va passer par la petite ville où vit notre garçon qui souhaite lui rendre hommage. Il ne se passera pas grand-chose de vraiment intéressant. A peine, certains thèmes comme le racisme seront évoqués. Il n’y a pas d’approfondissement psychologique. A la fin, la lecture apparaît comme un peu stérile. Il manque du rythme, de l’énergie et un gramme d’intérêt. Bref, l'émotion ne passe pas vraient. Reste un graphisme brouillon un peu spécial qui donne un certain cachet. -
Moka
Le 05/03/2015 à 23:09:13
Une histoire légère qui n’oublie pas d’être acide, sous le trait d’un Bastien Quignon qui allie avec grâce et subtilité les contours précis au crayon et les zones plus floues au fusain, faisant naître comme un brouillard chaud qui enveloppe les personnages et donne aux paysages un aspect rétro du meilleur effet. Les jolies couleurs de la couverture s’estompent au profit d’un univers graphique pastel, qui joue sur les gris et les beige-rosé et qui sied à merveille à ce bond dans les années 60. Chronique complète : https://aumilieudeslivres.wordpress.com/2014/08/20/sixteen-kennedy-express-quignon-ducoudray/